« Cela me rend optimiste de voir mes frères et sœurs de l’opposition politique, de la société civile et des groupes religieux […] je pense que nous sommes à la croisée des chemins, » convaincu d’un accord « […] s’il y a de la bonne volonté de la part des personnes concernées pour trouver une voie à suivre avec un calendrier réaliste [… ] ».
Expliquant sa position, le Chef de l’État a déclaré qu’il accepterait un Premier ministre de l’opposition et un mandat raccourci, mais seulement après l’adoption d’une réforme de la Constitution renforçant la Présidence, soulignant qu’il ne remplirait qu’un seul mandat et qu’il ne sera donc pas le bénéficiaire des pouvoirs renforcés d’une présidence.
« Deux concessions » de réduction de son mandat et Premier Ministre de l’opposition, sans grande portée, puisque la convocation d’une Assemblée Constituante pour réécrire la Constitution, prendra certainement tout le temps qu’il reste à son mandat…