Paru dans Le Nouvelliste

Après qu’ils se sont regardés en chiens de faïence pendant plusieurs mois, l’accord de Montana fait le premier pas vers Ariel Henry. Dans une correspondance adressée au Premier ministre le 2 février, le Bureau de suivi de l’accord de Montana sollicite une rencontre pour reprendre le dialogue politique avec le locataire de la Primature et les signataires de l’accord du 11 septembre…

« Nous nous référons à notre lettre du 28 octobre 2021 dans laquelle nous vous avions écrit ce qui suit, sans avoir reçu à ce jour une réponse de votre part ; ‘’ Lors de notre dernière rencontre, au constat commun que nous portions des projets de transition différents, il s’agissait pour vous, comme convenu, de nous faire des propositions concrètes qui ouvriraient éventuellement des pistes de rapprochement de ces visions et approches stratégiques diamétralement opposées’’. Depuis, dans l’esprit de l’Accord du 30 août 2021, dit de Montana, nous n’avons pas cessé de dialoguer et de négocier avec différents acteurs de la société civile et politique. C’est ainsi que nous sommes parvenus à un consensus politique avec le groupe PEN modifié auquel a adhéré le GREH et dont nous vous en transmettons copie en pièce attachée. Et nous poursuivons sans relâche nos conversations avec d’autres secteurs organisés politiques et sociaux de la vie nationale », écrit le Bureau de suivi de l’accord de Montana dans une correspondance adressée au Premier ministre dont Le Nouvelliste a eu copie.

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