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Depuis la fin août, le vaste mouvement de protestation contre le président Jovenel Moïse, contesté par l’opposition depuis son élection en février 2017, s’est accentué à la suite d’une longue pénurie de carburant à travers tout le pays. Les manifestations contre les scandales de corruption impliquant le chef de l’Etat, lancées voilà plus d’un an et qui ont fait une centaine de victimes, se sont transformées en brasier géant. Quarante-deux morts, au moins, sont venus s’ajouter ces dernières semaines au décompte macabre.
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