Paru dans AlterPresse

La délégation de l’Union Européenne (Ue), les ambassades de l’Allemagne, de l’Espagne et de la France en Haïti dénoncent la perpétration des actes de violences, incluant les actes de violences sexuelles, dont des viols collectifs, sur des adolescentes et adolescents, dans la zone métropolitaine de la capitale, Port-au-Prince, sous l’emprise de gangs armés, dans une note conjointe transmise à l’agence en ligne AlterPresse.

Ce type de violences commises par les gangs armés « entraîne des effets irréparables et irréversibles sur les victimes et globalement sur l’ensemble des communautés locales », soulignent-elles.

Les communautés, qui habitent dans les quartiers de la zone métropolitaine de Port-au-Prince, sont victimes de violations intolérables des libertés fondamentales, déplorent-elles.

Elles appellent à cesser immédiatement ces actes répugnants ainsi que les affrontements armés, pour permettre aux victimes, notamment de Cité Soleil (municipalité populaire au nord de Port-au-Prince), de recevoir les soins d’urgence et l’assistance humanitaire essentielle.

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